① Tu es bien plus que cela :les « étiquettes » peuvent aider notre esprit à mieux se repérer dans notre environnement. Mais appliquéà soi-même, les « étiquettes » peuvent restreindre la vision que nous avons de nous-même, quel dommage de te résumer ainsi ! Tu es bien plus que cela !Tu n’es pas seulement un parent ou « le fils/fille de »…, ton job/poste, une personne avec tel défaut/qualité/qualificatif physique ou de caractère (un·e maman, un·e ingénieur, un·e employé·e de tel secteur, un·e anxieux·se, un·e blond·e, un·e battant·e…)
② Influence : observe de quelle manière ces étiquettes peuvent avoir une influence sur tes actions. Arrive t-il parfois que tu hésites à faire quelque chose, de te « challenger » parce qu’on a toujours dit que tu « es un·e anxieu·se » ?
③ Change ce que tu fais, pas ce que tu penses de toi : vois si tu peux faire un tout petit pas en dehors de ce que tu as l’habitude de faire et observe comment ton regard sur les choses se renouvelle (changer un trajet, un produit qu’on a l’habitude de consommer, s’autoriser à inviter une personne à déjeuner, essayer une nouvelle activité, changer ta manière de répondre à une émotion, à une remarque…). Ce n’est qu’en expérimentant de nouvelles choses, en créant de nouveaux apprentissages et expériences que tes pensées et tes croyances internes changeront !