À force d’insomnie, nous abdiquons et mettons en place des schémas de pensées négatives, persuadés que nous allons mal dormir. C’est un cercle vicieux : nous dormons mal car nous sommes angoissés ou stressés et nos insomnies deviennent source d’angoisse et de stress. Il est préférable de mettre en place des stratégies pour rompre cette spirale.

  • Je ne passe pas en revue mes soucis avant d’aller dormir

Terminez la journée par une activité agréable, de détente. Un peu plus tôt, vous pourriez écrire vos problèmes sur un papier pour vous en décharger et ne pas y penser le soir.

  • J’évite de manger ou fumer juste avant d’aller au lit

En particulier, pas de stimulants : alcool, thé, cola. Le tabac en est un.

  • Je sors du lit lorsque le sommeil ne vient pas

Le lit ne devrait pas être un lieu anxiogène, mieux vaut en sortir si l’insomnie s’installe, faire une activité, et n’y revenir que lorsque la fatigue se fait sentir.

  • Je ne vais pas me coucher trop tôt

N’attendez pas inutilement le sommeil dans votre lit. N’allez vous coucher que lorsque la somnolence arrive.

  • Je garde un rythme du sommeil régulier

Il est préférable de garder un rythme régulier de sommeil plutôt que de privilégier des nuits pour rattraper le sommeil. Évitez les “sorties” tardives.

  • J’évite les siestes prolongées le jour
  • Je pratique une activité physique régulière le jour
  • Je supprime les écrans

Il est souhaitable d’en bannir toute activité perturbant le sommeil notamment regarder la télévision ou l’utilisation des écrans.

  • J’aère ma chambre
  • Je pratique la relaxation

Affirmer vos pensées positives en usant d’exercices de respiration, de cohérence cardiaque ou de sophrologie.

  • Je ne dramatise pas mes insomnies

Prenez le temps de soigner votre sommeil, suivez les conseils et répétez vos exercices. Il est peu fréquent de se trouver dans des situations incontrôlables. Mais si, malgré tout, la situation persiste, il ne faut pas tarder à consulter.

  • J’évite l’automédication et je consulte